đ§âïž CADAVRE DE SIRÈNE AU FOND DE L’OCÉAN : DÉCOUVERTE CHOQUANTE đâ ïž Plongeurs découvrent un corps à tête humaine et queue de poisson de 3 m, comme endormi depuis des siècles.

Puerto Vallarta, Mexique – 6 décembre 2025.
Une équipe de plongeurs professionnels qui explorait à 87 mètres de profondeur au large des îles Marietas, dans le Pacifique mexicain, est tombée sur une vision qui laisse le monde entier sans voix : un cadavre parfaitement conservé de ce qui semble être une véritable sirène.
Le découverte a eu lieu le 29 novembre dernier, mais les images et le premier rapport médico-légal ont fuité hier sur les réseaux sociaux, provoquant des millions de vues en moins de 24 heures.
La description qui glace le sang
Selon les plongeurs dirigés par l’instructeur PADI Roberto Delgado, le corps gisait sur le dos dans un lit de sable blanc, entouré de coraux noirs. Il mesurait environ 3,20 mètres.
La partie supérieure est clairement humanoïde : torse féminin, bras fins, mains à cinq doigts aux ongles longs et un visage aux traits délicats, presque enfantins, recouvert d’une fine couche de sédiment. Les cheveux, longs et d’un noir d’encre, flottaient autour comme s’ils étaient encore vivants.
À partir de la taille, le corps se transforme en une puissante queue de poisson couverte d’écailles iridescentes turquoise et argent, si dures qu’un plongeur a tenté d’en prélever un échantillon avec son couteau en titane et n’a réussi qu’à faire une égratignure.
La queue se termine par une nageoire caudale parfaitement symétrique, semblable à celle d’un poisson-voilier, mais de proportions gigantesques.
« J’ai d’abord cru que c’était un mannequin de cinéma », a confié Delgado en exclusivité à notre rédaction. « Mais quand on s’est approchés… elle dégageait du froid. La peau était froide, mais pas en décomposition. On aurait dit qu’elle était morte hier, pas il y a des siècles.
»
Premières analyses scientifiques : « Ce n’est pas un montage »
Le corps a été extrait dans le plus grand secret avec l’aide de la Marine mexicaine et transféré dans un laboratoire privé de Guadalajara. Le biologiste marin Dr Alejandro Ramírez, qui a participé à la première autopsie, a déclaré devant les caméras :
« Les côtes supérieures sont humaines, 12 paires.
Mais à partir de la 7e vertèbre lombaire, la colonne vertébrale fusionne en une structure osseuse unique jamais observée : 68 vertèbres caudales articulées, comme chez les grands cétacés, mais avec des écailles dermiques en kératine renforcée de silice, que nous ne connaissions que chez les requins préhistoriques.
Le cerveau fait 1 450 cm³, plus gros que la moyenne humaine. Et le plus impressionnant : les dents combinent incisives humaines et canines rétractables de serpent de mer. »
Le carbone-14 effectué sur une écaille donne une ancienneté approximative de 2 800 ans, plaçant la créature à l’époque des cultures olmèque et maya du Préclassique.
Les preuves qui confirment que ce n’est PAS faux Scanners 3D réalisés à l’Hôpital Civil de Guadalajara révèlent un double système respiratoire : poumons humains et branchies fonctionnelles derrière ce qui ressemble à des oreilles.
L’ADN extrait du tissu musculaire présente 94 % de correspondance avec Homo sapiens et 6 % inconnus, qui ne correspondent à aucune espèce répertoriée dans GenBank. La Marine mexicaine a déclassifié hier un sonar de 2019 montrant une silhouette identique nageant à 120 mètres dans la même zone.
D’où viennent les sirènes ?
Les sources mayas et chontales de la région parlent des « ixchelob », femmes-poissons qui vivaient dans des cités englouties et remontaient à la surface aux équinoxes pour s’accoupler avec les pêcheurs.
Les anciens de Nayarit racontent encore que leurs grands-parents voyaient des « femmes à queue » assises sur les rochers en chantant au crépuscule.
L’anthropologue espagnol Miguel Gutiérrez, spécialiste de mythologie mésoaméricaine : « Nous avons trouvé des pétroglyphes dans la grotte du Diable, à Nayarit, qui représentent exactement ce que nous voyons aujourd’hui : êtres moitié humains, moitié poissons, mêmes proportions de 3 mètres et écailles brillantes. On pensait que c’était symbolique.
Aujourd’hui… plus tellement. »
L’océan en cache d’autres

Le Dr Ramírez prévient que ce pourrait n’être que le début. « La fosse des Marietas contient des grottes inondées jamais explorées totalement. Le cadavre était disposé comme dans une chambre funéraire. Nous pensons qu’il y en a d’autres. Peut-être toute une population. »
Le gouvernement mexicain a déclaré zone interdite un rayon de 15 km et l’UNESCO a déjà demandé que le site soit classé Patrimoine mondial subaquatique.
L’image qui fait le tour du monde
La photo officielle, prise avec flash stroboscopique à 87 mètres, montre la sirène les yeux fermés, les lèvres entrouvertes comme si elle allait chanter. Des millions l’appellent déjà « La Belle au bois dormant du Pacifique ».
Pour la première fois de l’histoire, la science est obligée d’envisager que les sirènes n’étaient pas un mythe. C’était une branche parallèle de l’évolution humaine qui a choisi de retourner à la mer il y a des millénaires… et qui n’a peut-être jamais totalement disparu.
L’océan, qui couvre 71 % de la planète, vient de nous rappeler qu’on n’en connaît que 5 % des profondeurs.
Et maintenant on sait qu’on n’est pas seuls sous l’eau.